Malgré les indications fournies par May elle avait été capable de se perdre en ayant franchi des chemins plus ou moins rocailleux et envahis de ronces.
Son fin jupon était arraché pratiquement jusqu'aux hanches, et comme elle devait utiliser son bouclier comme pare-ronces elle n'avait pas le temps de s'occuper de rassembler les deux bouts de tissu, ce qui fit que tout regard sur elle serait vite rassasié.
Après cette longue marche elle trouva enfin la demeure de May, et s'approchant de la porte complètement exténuée elle donna ses dernières forces à frapper à la porte.
En espérant que May ait entendu elle posa ses fesses au sol avec le bouclier devant elle...