Souvenirs dans la cuisine

Invité

Val entra dans la cuisine que son tendre aimé avait construit et aménager avec tant d'ardeur.
Elle s'arrêta un instant et contempla le résultat.

A l'entrée de la cuisine se trouvait un four à bois qui lui faciliterait la tâche pour préparer de bon repas pour son tendre amour.
Elle sourit en se disant qu'il avait vraiment pensé à tout.

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Elle était émerveillée par le travail accompli, admira la grande cheminée, la table et les bancs façonnés de ses mains et se dit qu'elle avait vraiment beaucoup de chance d'avoir rencontré l'homme le plus merveilleux qui soit.

Elle sourit en voyant les vestiges de la collation prise par Diogo avant qu'il ne parte aux champs et se mit à tout ranger se disant qu'il devait être très pressé ce matin.

Puis elle quitta la cuisine et fit une nouvelle fois le tour de leur demeure.

Invité

Val entra dans la cuisine afin de préparer le repas du soir pour son tendre amour.
Elle avait cueilli quelques légumes dans le potager et était passée au marché acheter de la viande.
Elle mit la viande à cuire dans la marmite qui restait accroché dans la cheminée, pendant qu'elle épluchait et lavait les légumes.

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Puis une fois la viande quasi cuite, elle jeta les légumes dans le bouillon et laissa mijoter le tout tandis qu'elle fila faire un brin de toilette afin d'être prête pour accueillir son tendre aimé.

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 10/02/2009

Clytie se faufila dans la cuisine sans faire de bruit et s'affaira à préparer le repas du matin pour ses amis. Elle espérait qu'ils apprécieraient de trouver de quoi bien commencer la journée, en se levant.

Elle sortit de sa besace, un beau pain qu'elle avait acheté la veille à Agen

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Puis elle mit au four un gâteau et prépara une bonne soupe, qui, par ce temps hivernal, les aiderait à affronter le froid qui sévissait dans les champs.

Pendant que tout cela cuisait, elle mit la table et rédigea un petit mot :

"Ma chére Val, mon cher Diogo,

Je suis partie aux champs. Voici de quoi vous restaurer avant de vous rendre au labeur. J'espére ne pas avoir perdu mes talents de cuisiniére pendant ces longs jours passés sur les routes.

Merci pour tout ce que vous faites pour moi, soyez sûrs que je vous en serai éternellement reconnaissante.

Je vous embrasse affectueusement

A ce soir

Votre amie Clytie"

Elle sortit ensuite le gâteau du four

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vérifia que la soupe mijotait tranquillement sur le feu et sortit travailler.

Invité

Diogo et Val s'étaient levés en retard ce matin et ils n'avaient pas pris le temps de manger avant de partir. Muni chacun d'une pomme et d'une miche de pain, ils etaient tous deux partis vaquer à leurs occupations.

Val était déçue de ne pas pouvoir goûter aux mets delicieux que Clytie avait pris le mal de préparer.
Val avait retirer la soupe du feu et s'était promis de faire honneur à ce repas le soir en rentrant.

.........

Le soir arrivé, Val s'en rentra, espérant trouver Diogo ou Clytie à la maison. Il n'en fut rien. Tous deux n'avaient sans doute pas fini leur journée.

Val s'en fut faire un brin de toilette afin de se débarasser de la poussière de la journée et revint dresser la table pour eux trois.

Elle remit la soupe à mijoter sur le feu et se rendit dans le salon afin de se détendre un peu en les attendant. Son ventre criait famine et les délicieux préparatifs de Clytie lui donnaient l'eau à la bouche ! Aussi décida t'elle de s'en éloigner avant de céder à la tentation ....

Val avait une chance phénoménale et elle en était consciente, elle était aimée par le plus merveilleux des hommes et comptait comme meilleure amie une femme douce et attentionnée qui se multipliait pour aider son prochain.

Elle sortit de la cuisine et se rendit au salon tout en pensant à la tournure merveilleuse qu'avait pris sa vie ....

Invité

val se rendit dans la cuisine de fort bonne humeur ce matin.

Elle était pleine d'entrain malgré quelques petits désagrements causés par son état ....

Elle se dirigea vers le four à bois, et décida d'y faire cuire une ou deux miches de pain.

Elle fila dans le cellier et alla y chercher de la farine puis se mit à l'ouvrage.

............

Pendant que le pain cuisait, Val dressa la table du petit déjeuner, elle y déposa trois bols, des couteaux et des cuilleres.

ELle prit un pichet qu'elle remplit du bon lait que Diogo avait tiré le matin même et fit chauffer de l'eau pour se faire une bonne tisane.

Elle sortit ensuite du cellier un pot de confiture et un de miel et les déposa sur la table.

Elle vérifia ensuite la cuisson du pain et jugeant qu'elle avait assez de temps, se dirigea vers le jardin, souhaitant profiter de la douceur et du silence du matin.

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 10/02/2009

Clytie avait passé une nuit sereine et réparatrice, courte certes mais elle se sentait détendue et reposée.

C'est d'un pas guilleret qu'elle entra dans la cuisine où elle sentit l'odeur du pain chaud et vit la table du petit déjeuner prête, pour Val, Diogo et May.

Elle jeta un coup d'oeil et ne vit personne puis se rendit au jardin afin d'écouter les oiseaux qui piaillaient pour saluer le jour qui se levait. Elle aperçut Val derrière un buisson de roses trémiéres.
Elle s'approcha derrière elle à pas de loup et mis ses mains sur les yeux en riant.

Mayouche entra dans la cuisine pour voir si elle pouvait aider Val. Elle trouva la table déjà préparée et sentait l'odeur du pain qui cuisait dans le four. Mais elle ne trouva pas Val. Voyant la porte du jardin ouverte, elle alla voir si Val s'y trouvait.

Invité

Ce matin, diogo se leva très tôt il devait repartir au Monastère

Il courut chez le boulanger chercher une miche de pain toute chaude puis mit a chauffer l'eau pour le café

Il mit la table pour ses deux amours qui dormaient profondément, Val son amour pour la vie et Mayouche sa fille

Il fit passer le café, se servit un bol et le remit au chaud, une bonne odeur de café se propageai dans toute la maison

Il coupa une tranche de pain, la trempa dans son bol et la mangea rapidement

Il était déjà tard il devait partir pour le monastère

Il prit un parchemin et écrivit : Bonjour ma Val adorée, bonjour ma fille chérie, je dois partir rapidement, je vous aime et je vous embrasse toutes les deux
Passez une bonne journée, je reviens vendredi en fin d'après midi

Diogo se leva lava son bol et le rangea, puis partit en courant pour le monastère

Invité

Le matin où Diogo était reparti au monastère, il avait eu la délicate attention de préparer le petit déjeuner pour May et Val.

Il avait même pris le temps de courir à la boulangerie leur chercher du pain frais.

Val était descendue de leur chambre encore toute endormie et la bonne odeur qui l'avait accueillie dans la cuisine la mise de bonne humeur.

Mais le fait que Diogo et elle se soit reconciliés était beaucoup dans le moral de Val et celle-ci se sentait de nouveau prête a affronter les aléas de la vie, tant qu'il serait à ses côtés.

Val avait pris une décision, elle serait aux côtés de son tendre aimé, de sa fille et de son amie Clytie pour faire vivre Marmande, comme l'avait souhaité Biche....

Biche.... à la simple évocation de son nom, les larmes montaient aux yeux de Val, cette femme exceptionnelle avait été emportée par la maladie, maladie qu'elle avait tu à tous, elle s'était battue jusqu'au bout et .... pour ça Val se devait de continuer son combat pour Marmande.

Val secoua la tête. Elle savait qu'il ne fallait pas qu'elle se laisse aller à l'émotion si elle voulait donner le meilleur d'elle même pour Marmande.

Les derniers jours avaient été particulièrement difficiles émotionnellement, pour elle, pour Diogo, pour May et pour Clytie.

Il fallait maintenant qu'ils se serrent les coudes et qu'ils affrontent les difficultés tous ensemble.

Val s'installa à table. Elle vit alors le parchemin laissé par Diogo, le lut et un sourire radieux se dessina sur ses lèvres .... vendredi soir .... il serait de retour vendredi soir.... Val savait que les heures qui les séparaient seraient longues et fatiguantes au vu de ce qu'elle envisageait de faire mais elle savait aussi que Diogo serait fier d'elle à son retour et cette seule pensée lui donna plus de courage qu'il ne lui en fallait.

Val avala son petit déjeuner et fila en quête de son amie Clytie qu'elle trouverait sans nul doute déjà à son bureau de maire.

Invité

Diogo revenait du marché, un peu éreinté de la journée, il avait bien rit avec Val et Mayouche en s'occupant des cochons, il posa ses achats sur la table.

Il fit le tour de la pièce et ouvrit les placards, pour regarder si sa fille chérie avait pas caché un petit cochon

Diogo s'afféra à préparer le repas, il voulait faire une surprise à son amour et à sa fille

Il sortit du panier des moules qu'il mit à faire cuire dans la marmite avec du thym et du laurier et un peu de Pineau des Charentes

Il prit un plateau, ouvrit les huitres et les disposa dessus

Il prit l'autre marmite, disposa le poisson dedans, mit des oignons hachés fins, un peu de sel, du poivre, de la tomate, des herbes de provence et mit à cuire après avoir ajouté du Muscadet et de l'eau

Puis il prit le sac de riz , le rinça et le mit à cuire avec un peu d'eau dans une cocotte en fonte dans la braise

Il mit les fruits qu'il avait acheté au marché dans une coupe

Diogo prépara la table en installant les trois couverts et en pensant que bientôt ils allaient être 4

Il s'afféra devant les marmites attendant que Val et May reviennnent

Après avoir préparé la surprise à ses parents, Mayouche entra dans la maison. Tout de suite, elle sentit de bonnes odeurs dans la maison lui chatouiller les narines. Elle sourit. "Dio doit être en train de préparer à manger pour nous!!!", pensa-t-elle.

Elle accourut à la cuisine où, effectivement, elle vit son père cuisiner. "Mon homme, dans le futur, devra savoir cuisiner, ça c'est sûr!", pensa-t-elle.

Elle se mit à l'entrée de la cuisine et vit Diogo faire. Elle le regardait préparer le poisson. Il était si minutieux, mais cela semblait naturel pour lui.

Elle se dit qu'elle lui demandera de lui apprendre à cuisiner pour quand ... ce sera son tour d'avoir sa famille... Dans looooongtemps.

Tout ce temps-là, Mayouche se fit très discrète, si bien que Diogo ne réalisa pas qu'elle l'observait. Quand il eut finit de mettre la table et qu'il retourna aux marmites, elle s'approcha et lui fit un gros calin par le dos.

"Ça sent super bon papou!!! Dis, tu m'apprendras à cuisiner comme toi un jour! Tu es trop bon cuisiner! Qui t'a appris?"

Mayouche prit une chaise de la table et s'assit dessus pour écouter son père et attendre sa mère.

Invité

Val entra dans la maison avec un sourire dessiné sur les lèvres.

Elle venait de voir les jolies barriques disposées devant la maison.

Elle fut happée par une délicieuse odeur venant de la cuisine et se dirigea immédiatement dans ce sens.

Elle franchit le seuil de la porte et s'arrêta un instant, admirant le tableau familial qui s'offrait à elle.

Diogo était affairé aux fourneaux tandis que May assise sur une chaise, discutait avec lui tout en l'observant.

Val entra dans la pièce et se dirigea vers son tendre amour et sa chère fille.

Elle passa sa main tendrement dans les cheveux de sa fille et lui sourit, puis fila déposer un doux baiser sur les lèvres de son aimé :" ca sent bon mon trésor, tu es un amour d'avoir préparé le repas, je ne m'en sentais pas le courage, les cochons m'ont épuisée !"

Val se blottit un instant dans ses bras, l'interrompant dans ses préparatifs puis elle prit une chaise et s'installa près de sa fille :" dis moi ma puce, c'est toi qui nous a fait cette très jolie décoration devant la maison ? C'est très réussi ! j'avais d'abord pensé à ton père mais tout compte fait, ce joyeux désordre te ressemble plus !"

Elle lança un ravissant sourire à Diogo et ajouta :" tu es beaucoup trop méticuleux pour avoir disposé des barriques en tout sens !"
Val sourit puis s'approcha de Mayouche pour la câliner en attendant la fin des préparatifs du repas.

May n’entendit pas Val arriver dans la cuisine, tant elle était absorbée par le moment qu’elle passait avec son père.

C’est quand elle sentit une main lui ébouriffer les cheveux qu’elle réalisa la présence de sa mère.

Elle attendit que celle-ci s’assoit à côté d’elle pour se coller tout contre elle.

" dis moi ma puce, c'est toi qui nous a fait cette très jolie décoration devant la maison ? C'est très réussi ! j'avais d'abord pensé à ton père mais tout compte fait, ce joyeux désordre te ressemble plus !", lui dit Val.

" Oui maman… Je savais que tu y pensais depuis un moment et puis hier, j’ai eu envoe de te faire plaisir. J’espère que tu aimeras aussi papa.", répondit May.

Entendant ce que Val dit à Diogo, May répondit : "Mais … Tu aimeras quand même hein papa ?? C’est pas désordre…… C’est … assymétrique ! "

May sourit, se blottit contre Val, une main sur son ventre, et regarda Dio finir les préparatifs du repas.

Invité

Diogo avait fini de préparer le repas en discutant avec sa fille chérie

"Ça sent super bon papou!!! Dis, tu m'apprendras à cuisiner comme toi un jour! Tu es trop bon cuisiner! Qui t'a appris?"
Il lui fi un grand sourire et lui dit :Ma chérie, j'ai appris tout seul, la cuisine c'est inné, chez moi, j'invente les recettes quand j'ai de l'inspiration et toi et ta mère m'en donnez beaucoup

diogo sourit et fit un gros câlin à sa fille

Il vit val arriver pendant qu'il était en train de remuer le poisson, il répondit à son baiser avec passion et se mit à parler avec les deux femmes de sa vie, il écouta attentivement ce qu'elle disait :

" dis moi ma puce, c'est toi qui nous a fait cette très jolie décoration devant la maison ? C'est très réussi ! j'avais d'abord pensé à ton père mais tout compte fait, ce joyeux désordre te ressemble plus !", lui dit Val.

" Oui maman… Je savais que tu y pensais depuis un moment et puis hier, j’ai eu envoe de te faire plaisir. J’espère que tu aimeras aussi papa.", répondit May.

diogo sourit et dit :

oh ma fille chérie, tu as fait cela, c'est très gentil pour nous, cela te plait mon amour?
Je vais aller voir ce chef d'œuvre

diogo leur sourit et sort de la maison pour aller voir les travaux de May

Pendant que Dio va voir sa création, May, comme a son habitude ces temps-ci, descend de sa chaise, se met à genou devant Val et met sa tête contre son ventre.

Elle voulait à tout prix entendre sa petite soeur ou son petit frère bouger.

Elle posa ses mains de par et d'autre de sa tête et attendit.

"Maman! Quand est-ce que je vais entendreeeeuhhh!!!!" demande May à sa mère.

Invité

Val sourit devant l'impatience de sa fille. Elle la regarda et lui dit : " bientôt ma puce ! laisse le grandir encore un peu ! Ne sois pas si impatiente ! tu verras quand il ou elle sera toujours derrière toi et que tu ne seras jamais tranquille ! tu seras moins impatiente !"

Val sourit et imagina sa grande fille se rendant à son bureau de tribun, son petit frère ou sa petite soeur lui courant derrière....

Val était très heureuse, sa vie la comblait, son tendre amour et sa fille lui rendait la vie douce et sa grossesse se passait au mieux.

Val regarda à nouveau May, qui, sa tête posée entre ses mains, boudait telle une petite fille .... Elle éclata de rire devant sa mine renfrognée, lui ébouriffa les cheveux comme elle adorait le faire et ajouta :" bon ! et si nous dressions la table ma puce ? En attendant que ton père ne revienne. Il a déjà tout préparé, on va pas lui laisser tout faire quand même ...."

Se disant, Val se leva de sa chaise et fila sortir les assiettes et les verres.

" bon ! et si nous dressions la table ma puce ? En attendant que ton père ne revienne. Il a déjà tout
préparé, on va pas lui laisser tout faire quand même ...."

Pendant que Val sortait les assiettes et les verres, May sortit les fourchettes et les couteaux.

Après que Val eut disposé les assiettes et les verres, May les plaça de par et d'autres des assiettes. Elle regarda la table ... il manquait quelque chose ...

Elle courut dans le jardin de la maison avec un long verre à la main.

May revient avec quelques fleurs dans le long verre, qu'elle avait remplit d'eau dehors dans le puits.

Elle le déposa au milieu de la table et alla près de sa mère.

"Ça enjolive un peu, non?" dit-elle en souriant.

Invité

Diogo rentra dans la cuisine fit un grand sourire en regardant la table dressée,et agrémenter d'un joli bouquet de fleurs

Il dit : Je vois que vous commencez à avoir faim .
Très joli may ta composition florales avec les tonneaux, je n'aurais jamais pensé à la faire comme cela, mais cela me plait beaucoup

Diogo fit un gros câlin à sa fille, puis serra très fort sa Val chérie dans ses bras

Il déposa sur la table le premier pain de sa fournée, il avait eu le temps de courir à la boulangerie et de ramener un pain tout chaud qu'il découpa en tranche fine

Diogo amena le plateau d'huitres sur la table et dit à May et Val :

[i]à table les filles, je crois que vous avez très faim et moi aussi

Bon appétit

"à table les filles, je crois que vous avez très faim et moi aussi"

Quand elle entendit ces fameux mots, May ne se fit pas prier pour prendre place à table.

Elle se précipita à prendre un morceau de pain et le mangea très vite, tellement elle avait faim.

"Très bon ton pain papou!!!"

Puis, elle regarda les huîtes d'un regard intrigué et fit une petite grimace.

"C'est quoi ça??"

Invité

Diogo rit en voyant May se délecter avec le pain, il était heureux de voir sa fille se régaler

Puis, elle regarda les huîtres d'un regard intrigué et fit une petite grimace.

"C'est quoi ça??"

Il lui répondit :
Ma chérie, ce sont des fruits de mer, tu devrais gouter, c'est délicieux

Il se tourna ver val qui regardait sa fille avec un air amusé, lui fi un sourire et lui dit :Val, mon amour, tu peux lui dire que c'est délicieux, toi qui les adore

[b][i]Diogo regarda sa fille et sourit à la grimace de May

Il regarda Val et May se mettre à table et prit place à côté d'elles après avoir préparé une sauce à l'échalotte et coupé des citrons pour les huitres

Ma chérie, ce sont des fruits de mer, tu devrais gouter, c'est délicieux

Mayouche dit : « Des fruits …… de mers ? Ils ne ressemblent pas à des fruits pourtant … »

Elle préféra attendre une confirmation de sa mère avant de mettre un de ces …. Fruits … dans sa bouche.

Elle prit un autre morceau de pain et se mit à le manger avec appétit, pensant qu’à son orphelinat, c’est ce qu’elle mangeait tout le temps.

Invité

Val éclata de rire en entendant la remarque de May.

"tu as raison, ça ne ressemble pas à des fruits mais c'est délicieux !"

Val se régalait de ses fruits de mer, pensant que cela encouragerait sa fille à se laisser tenter.

Durant tout le repas, ils parlèrent de choses et d'autres, visiblement heureux de se retrouver à cette table tous les trois.

A cet instant précis, qui pouvait dire qu'il n'existait aucun lien de sang entre eux ?

Val regarda tour à tour le père et la fille et se senti envahie de fierté.

Les liens du coeur qui les unissaient étaient visiblement très fort et l'amour envahissait leur demeure.

Voyant sa mère manger avec appétit ces ... fruits ... qui n'étaient pas des fruits .. May décida de goûter à son tour.

Elle prit une bouchée ... et trouva cela très très très gluant ...

« Euh .... oui .... j'aime ça .......... », dit May, ne voulant pas offusquer son père qui avait mit le temps pour les préparer.

May prit tout de suite une bouchée de pain pour avaler plus facilement.

Elle n’osa plus goûter les autres fruits de mer et mangea que du pain tout le reste du repas.

Durant ce repas, May apprécia chaque instant. Val et Dio lui avait offert le plus beau cadeau du monde : une famille. Ils parlaient de n’importe quoi, riaient ensemble et se taquinaient.

Son regard allait de son père à sa mère, tour à tour, et elle les aimait profondément.

Invité

Diogo regarde Val se régaler avec les huitres et est heureux de lui avoir fait plaisir

Puis il se tourna vers val et l'écouta dire :

« Euh .... oui .... j'aime ça .......... », dit May, ne voulant pas offusquer son père qui avait mit le temps pour les préparer.

May prit tout de suite une bouchée de pain pour avaler plus facilement.

Elle n’osa plus goûter les autres fruits de mer et mangea que du pain tout le reste du repas.

Il lui répondit :

ma chérie, tu n'aimes pas ça? tu aimeras sans doute mieux les moules

[i] diogo sourit à sa fille et regarda Val qui riait

Il se leva, débarrassa la table, mit les coquilles dans un seau et les assiettes

Il remit des assiettes propres, et apporta la marmite de moues, le plat de poisson et le riz

Une délicieuse odeur se répandit et chatouilla les narines de Val qui en salivait à l'avance

May vit son père débarasser la table, enfin, des "fruits de mer" gluants qu'elle avait goûté.

Il en apporta d'autre, dans des coquilles aussi, ainsi que du poisson et du riz.

Elle se décida de goûter au poisson pour la première fois de sa vie et s'en servit un peu, avec du riz.

"Ahhh ça j'aime bien!!! Très bon papouuu", dit-elle.

Elle finit son assiette avec grand appétit. C'est pas à l'orphelinat qu'elle mangeait bien comme ça en tout cas.

Elle finit son repas, tout en parlant avec ses parents.

À un moment, la fatigue la frappa.

"Papa, maman, je peux m'excuser de table .. Je voudrais aller dormir, je suis fatiguée."